Thierry Iochem est né le 29 novembre 1972 à Briey, en Lorraine. Après des études de finance à la Sorbonne et Science-Po, il décide de concilier son goût des chiffres avec celui des lettres en embrassant la carrière de journaliste économique dans diverses publications telles que Les Echos ou L’Agefi.
Comme l’écriture ne saurait se résumer à la rédaction d’articles de presse, d’enquêtes et de reportages, il décide, en parallèle, de se consacrer à l’écriture littéraire, avec à ce jour un roman d’anticipation publié chez Lettres du Monde, intitulé « Les dessous de l’Iceberg », et qui aborde le thème de la manipulation mentale à travers les images virtuelles et les messages subliminaux (tout un programme !).
Et puis arrive le jour où, au Salon du Livre de Paris, l’agent d’un producteur américain lui propose d’adapter son livre pour le cinéma. Hélas, le projet ne se fera pas car il a été budgétisé à 75 millions de dollars alors que le producteur ne pouvait investir que 40 millions ! Tirant leçon de cet échec, Thierry décide de s’intéresser de plus près à l’écriture cinématographique, et fonde avec un ami « Script-fiction », un site Internet de mise en relation entre scénaristes et producteurs.
Parmi ses autres projets d’écriture, Thierry ambitionne d’écrire un jour un essai, un roman ou encore un récit de voyage. Son objectif, on l’aura compris, est de se frotter à tous les styles d’écriture, exception faite de la poésie et le théâtre pour lesquels il ne se sent pas la fibre, laissant à d’autres plus talentueux que lui le soin de s’en charger avec brio.
Féru des années 1970 et des cultures « undergrounds » - comme Les casseurs de pub, les No Logo et autres alter-mondialistes - c’est tout naturellement qu’il se tourne vers le mouvement gothique, qu’il considère comme un début d’alternative à notre société de surconsommation en pleine phase de décadence.
Fasciné par le monde de la nuit, Thierry organise à la fac des soirées étudiantes, collabore un temps au « Guide de la Fête » et fréquente assidûment les soirées gothiques dans la capitale mais aussi à travers l’Europe, quand le temps et l’énergie le lui permettent.